Le monastère intérieur

Le seuil est situé plus haut que le reste de l’assemblée, de sorte qu’écrire le bâtiment un doive monter sept escaliers, suivi sept d’autres escaliers qui donnent l’impression d’une altitude, et certaine délimitation de offre entre les parties de l’église. Le numéro sept est un symbole important dans le Ecritures saintes et se rapporte aux sept jours de la création, aux sept mystères de la religion orthodoxe et aux sept cadeaux de l’esprit saint.

L’élément qui attire l’attention même de l’entrée est le « réseau de nervures » spécial qui enrichissent le dôme, inspiré par le modèle gothique dans l’occidental, approuvé par l’évêque Anastasie Crimca. Les fenêtres sont dans le modèle gothique, la tour d’église en pierre a les ornements végétaux et géométriques – stupéfiant, découpage exotique, broderie. La polychromie traditionnelle est remplacée par la pierre magnifiquement découpée.

Dragomirna ne possède pas une chambre des tombeaux, mais le seuil là est quelques pierres d’enterrement, leur sculpture est de grande simplicité, opposé à l’ornement riche sur le dôme. Les trois premières pierres ont des inscriptions dans Slavone, la plupart du temps illisible, tenant les dates 1673 et 1680. 

La pierre d’enterrement la plus ancienne est un registre de marbre avec une inscription grecque, remontant de l’en second lieu, le premier siècle B.C., dans une ville non identifiée sur les rivages de Pontus Euxin, dans l’honneur d’un architecte, Epicrates, le fils de Nicovolus de Bizant. 

Selon la tradition, on le croit que sous cette pierre est enterrée un certain Dima, considéré comme le constructeur légendaire de Dragomirna, bien que l’histoire ne soit pas basée sur de vrais faits, étant simplement une imagination. La dernière pierre d’enterrement, ayant sur sa partie supérieure une représentation des deux régions Moldavia et Ţara Româneasca, un emblème entouré par le laurier de compartiment, symboles du jour et de la nuit, oiseaux et fleurs, couvre le tombeau de Maria Blaj, complètement en 1770, la fille de Constantin Mavrocordat, une ancienne règle des deux pays.

Du seuil à la région de Pronaos on doit passer un porche construit dans le modèle gothique. Le Pronaos impressionne la visionneuse par la manière qu’elle est construite, formant un décor avec huit voûtes cassées. Il n’y a aucune partie du dôme ou de la voûte qui ne tient pas le modèle d’une corde d’arête de hareng. Les deux dômes, de la taille différente, sont construit par place, obtenue par le mette les voûtes une sur l’autre, formant la véritable broderie en pierre. Quand ils croisent, ils forment des rosettes avec les ornements et les boucliers floraux.

Cette décoration entière est peut-être la plus sophistiquée de celle sur les dômes moldaviennes. Dans le Pronaos, du bon côté là peut être vu une pierre d’enterrement, plus haut que le reste du plancher, n’ayant aucune inscription.

Cette pierre couvre les restes terrestres du fondateur d’évêque de l’église. Du côté gauche du Pronaos il y a la verrière avec les reliques saintes de Saint Jacob le Persan. Le puits illuminé par deux fenêtres de chaque côté, la deuxième chambre de l’église est séparé des naos par un mur avec trois ambulatoires et deux colonnes sur la partie extrême.

Ainsi, entre le Pronaos et le bas-côté on a créé un espace qui permet au téléspectateur de voir l’autel et les cérémonies.

Les escaliers du bas-côté deux au-dessus du Pronaos et comme prolonger à lui, ayant la même longueur est le plus grand des chambres de l’église. Des côtés du sud et du nord ouvrent les apsides latérales habituelles, une bosselure semi-circulaire, en ayant le même volume que le mur, sans être vu sur l’extérieur. Le clocher de adorateur domine la partie externe, et, bien que sensible et amincissez, il ressemble au dessus d’une pyramide.

Le clocher est en rond sur l’intérieur et octogonal sur l’extérieur et tient son poids sur quatre grandes voûtes, faisant soutenir les mêmes caractéristiques de la corde d’arête de hareng, par la parenthèse énorme. Par le système ingénieux des voûtes, également utilisé dans le Pronaos, on construit un corridor entre le périmètre rond des murs du clocher, qui donnent finesse au clocher.

L’autel, placé plus fortement que le Naos, clôture l’altitude progressive des chambres. De régulier, la forme de semi ronde, couverte par un dôme, sphère formé, la chambre est illumine par trois grandes fenêtres, largement ouvertes sur l’intérieur.

La longueur de l’autel réduit graduellement par le « rezalite » trois consécutif (une partie du mur qui est plus haut que le repos afin de représenter une certaine structure du plan, d’un certain « risalit » composition~Germain du bâtiment) vu de l’extérieur en tant que trois voûtes télescopiques. Cette composition architecturale entière souligne l’étroitesse progressive de l’espace de l’autel, accentuant son rôle comme élément essentiel du bâtiment.